Hélène remplace Adeline depuis le mois de mai 2018 comme chargée de communication et de commercialisation. Elle connait déjà bien les Jardins. Elle se présente à vous à l’occasion de cette nouvelle newsletter.



Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Hélène Pullion. Pour résumer mon parcours, je peux remonter jusqu’à 20 ans en arrière où j’avais eu une première expérience dans l’agriculture en travaillant comme paysagiste. Ensuite, j’ai surtout travaillé comme assistante de direction, secrétaire ou agent d’accueil.

Après avoir fait un stage d’immersion dans une ferme Bio près de Cluny, je suis entrée au mois d’août 2017 aux Jardins de Cocagne de Mâcon dans un premier temps comme salariée en contrat d’insertion. J’avais alors le projet de passer le BPREA (Brevet Professionnel de Responsable d’Exploitation Agricole). Ce travail effectué sur le terrain de la production, de la préparation de commandes et de la commercialisation m’a permis de bien connaître tous les aspects de la structure.

Il y a aux Jardins des valeurs que je partage : la solidarité, le maraîchage biologique et plus généralement, toutes les questions d’environnement, le respect de la nature.

Comme je travaillais ici, on m’a proposé de poser ma candidature au poste de chargée de commercialisation suite à l’annonce du départ prochain d’Adeline qui occupait le poste avant moi, et j’ai été choisie.

Mon travail dans le maraîchage aux Jardins m’a permis de me rendre compte de la difficulté de ce métier, très exigeant physiquement. Mon projet d’exploitant agricole s’est éloigné mais je suis vraiment heureuse d’avoir pu faire cette expérience sur le terrain. Et, je suis très heureuse qu’on m’ait proposé cet emploi de chargée de commercialisation et de communication et d’avoir été choisie parmi d’autres candidats.

Je me suis très bien adaptée à la fonction, notamment parce que je suis très à l’aise sur les questions informatiques. Par contre, on ne se rend pas vraiment compte de la quantité de travail à faire. Le nombre de tâches est très important et on a parfois l’impression d’être tout le temps débordé.

Quels sont les éléments qui t’ont frappé depuis que tu es dans ce nouveau poste ?

Ce qui me frappe le plus, dans mon travail, c’est justement l’immense variété des tâches. Il faut être multi-casquettes ! Cela va de l’infographie à la relation avec la presse, la relation avec les adhérents comme avec les points de dépôts et les partenaires, savoir rédiger et suivre les différents sujets en cours, faire de l’organisation, de l’accueil, et même des tâches administratives et comptables, … C’est très multiple.

Ce qui me plait plus, c’est tout le côté relationnel, avec ses dimensions de partage et de solidarité, les échanges avec les gens.

Est-ce qu’il y a quelque chose que tu as à cœur de réussir, pour toi-même ou pour les Jardins ?

C’est une question difficile ! Ma devise, c’est de toujours faire au mieux quoi qu’il arrive.

Tout ce qui touche à l’organisation d’une structure humanitaire ou à vocation d’intérêt publique m’intéresse. Si je peux développer mes connaissances sur des structures de ce type, ce serait bien. Peut-être un jour, je pourrais m’occuper d’une structure de cette nature.

Aujourd’hui, depuis plus d’1 an que je suis aux Jardins, j’apprends beaucoup et de tout le monde. J’ai fait de belles rencontres. Je me suis fait de véritables amis.

On n’arrive pas aux Jardins par hasard. Je pense que si l’on postule ici, c’est que l’on partage déjà des valeurs communes, sur l’environnement ou la solidarité.